Guillaume TREPPOZAutodidacte, son travail a été exposé dans différentes galeries, musées et centres d’art contemporains.
Il est soutenu par Antoine De Galbert via sa galerie grenobloise puis sa fondation « La Maison Rouge » à Paris.

La matière accumulée, superposée, saturée, est au service d’un univers confusément minéral, végétal ou organique, toujours grouillant et proliférant au sein duquel le regardeur peut voyager au risque même de s’y perdre. Son oeuvre s’élabore patiemment, soit par superposition de strates, soit dans un principe de juxtaposition d’éléments en apparence seulement identiques. Il jette des passerelles d’un détail à l’autre et c’est point après point que l’espace du tableau s’organise. Le travail s’arrête lorsque la saturation de l’espace est maximale et que, paradoxalement, elle tend vers le vide.